Patrimoine

La commune de Saint-Jean-aux-Bois offre un patrimoine qui fait la fierté de ses habitants. Vous trouverez dans cette rubrique différents articles et photographies de nos monuments et richesses naturelles.

Sainte Périne (suite)

L’assassinat du garde Favreau à Sainte Périne   Le 24 octobre 1928, un boucher charcutier de La Croix St Ouen, faisant sa tournée de Sainte Périne et La Brévière, engage sa camionnette dans l’allée forestière qui relie ces deux hameaux. À 150 mètres de l’abbaye il découvre, horriblement mutilé, le corps d’un homme qu’il reconnaît […]

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Sainte Périne (suite)

Avec la vente de Sainte Périne à Charles X en 1826, nous avons une parfaite illustration de la négation du rôle de la femme tel que le code civil de 1807, dit code Napoléon, l’avait inscrit dans le texte. Lorsque la femme se marie, elle peut être soumise à divers régimes matrimoniaux, mais tous la

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Sainte Périne (suite)

  Durant la révolution, Sainte Périne prit l’appelation d’”Estave”, nom du propriétaire des lieux.     Aucune date d’archives ne nous donne la date à laquelle le hameau de l’Hermitte fut séparé de la chapelle. Le 11 mai 1826 les deux sœurs Calabre, héritières de leur père vendirent au roi Charles X l’enclos de la

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Sainte Périne

  Sainte Périne est un lieu-dit peu éloigné de La Brévière faisant partie de Saint Jean aux Bois. C’est le roi Philippe Auguste qui fonda et fit édifier une chapelle dite de « l’hermitte » en la forêt de Cuise au début du XIIIe siècle. Le chapelin reçut de ses successeurs Louis IX et Philippe le Hardi

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Portraits d’un village de forêt

La mémoire de Saint Jean a, sur la proposition et avec le concours de Jean-Pierre Gilson photographe, réalisée un album des photos des habitants du village qui ont accepté d’y figurer. C’est ainsi que pendant plusieurs mois 110 familles ont été photographiées dans leur univers quotidien. Introduite auprès d’elles par des membres de l’association, Jean-Pierre

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La mare

  Dans la grande cour du village devant la porte de la ferme existait depuis toujours une mare qui servait d’abreuvoir aux animaux domestiques et éventuellement à rouir le chanvre alors cultivé et travaillé par plusieurs familles. Pour mieux situer l’emplacement de cette mare reportons nous à la partie herbeuse située à la gauche de

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Les chats

    Le chat de la maison (le noir dit Titi) à un ami, qui venant d’une maison voisine, vient régulièrement lui rendre visite. C’est le seul à pénétrer ainsi sur son territoire.   Ils ne se font pas de grandes embrassades. Ils ne se font pas non plus méchancetés. Ils se tolèrent. C’est tout.

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La route de Pierrefonds

       La route de Pierrefonds n’a pas toujours eu la configuration que nous lui connaissons aujourd’hui. Tant que la nécessité d’établir des liens commerciaux entre les deux communes ne se faisait pas sentir le chemin des Plaideurs apparaissait comme suffisant. A partir du moment où des charrois durent circuler, les choses se présentèrent différemment.

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Les boulangers

Après que le moulin eut progressivement cessé de moudre pour s’orienter définitivement vers la fabrication du pain, le premier boulanger de métier à s’installer à Saint Jean fut Gustave Labouré en 1886. Il exercera jusqu’en 1906. Il sera remplacé pour une courte période, cinq ans, par Louis Ruelle dont le passage n’a pas laissé de

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