Robert.Labille

Lorsque nos jeunes solitaires envahissent la bibliothèque et la transforment en un véritable salon de lecture, n‘est-ce pas une invitation à tous les adultes de venir y faire un tour et de découvrir les trésors qu’elle renferme. Il y en a pour tous les goûts, mais pas pour toutes les bourses, puisque les prêts sont gratuits.

  Bien qu’étant un parasite redoutable pour l’arbre qui s’en trouve infesté, ce champignon est un bon comestible à l’état très jeune.   Depuis la fin de la semaine dernière c’est par milliers qu’il sont apparus par touffe parfois énorme sur des souches ou du bois enfoui dans le sol.   Vous ne pouvez ne

  … pourtant si dangereuse l’amanite tue-mouche.   En voici quelques exemplaires photographiés dimanche matin vers le carrefour du Grand Maître. L’amanite tue-mouche est souvent représentée dans des livres pour enfant comme la maison du petit nain ou dans des albums de coloriage, risquant de la rendre sympathique et inoffensive dans l’esprit des bambins.

  En cette fin d’après-midi, l’ensemble « Voce di Donna », n’avait pas choisi la faclité en nous interprétant ces œuvres de Marcel Dupré, Jean Langlais, Olivier Messian, Maurice Duruflé, Jehan Alain et Olivier Latry.   Emmanuelle Lefranc, soprano, Hélène Staub, mezzo-soprano, accompagnées à l’orgue par Pierre Lefranc, nous enchantèrent pendant 1 heure 30.   Voici quelques vues de

Atelier de sculpture http://t.co/HQJMg9PUSw Robert Labille (@RobertLabille)October 13, 2015 Atelier de sculpture – Le blog de niddanslaverdure À la maison du village, se tenait d imanche après midi , un atelier de sculpture, à l’initiative de la bibliothèque municipale et de ses animatrices, Françoise Böhn et Odile Robinet. Organisé en direction des enfants, cet atelier

  À la maison du village, se tenait dimanche après midi, un atelier de sculpture, à l’initiative de la bibliothèque municipale et de ses animatrices, Françoise Böhn et Odile Robinet. Organisé en direction des enfants, cet atelier était placé sous les bons conseils de Claudie Ray, elle-même sculptrice et membre des amis des Arts de Saint-Jean. D’autres adhérents de

  Le premier bail figurant aux archives date du 9 janvier 1696.   Il est conclu entre Jean Augier pour la communauté religieuse et François Daudequin meunier à Vaux et sa femme Antoinette Mercier.   Hameaux de Vaux et du Tronquoy. Autrefois dénommé Le Frestoy, Vaux et Le Tronquoy lui sont réunis en 1825. (Arrondissement

  Nous avons écrit précédemment l’intérêt que présente les actes notariés d’un point de vue historique.   Leur lecture apporte souvent des renseignements intéressants qui nous éclairent ou précisent des situations et des faits dont on ignore quelquefois l’exactitude.   Ainsi cet acte du 21 juin 1686 concernant la vente d’une parcelle de terrain par

Le bail de 1749, passé le 20 mars est consenti à François Darchin et à son fils François « garçon âgé de vingt-deux ans ou environ », le père s’engageant à faire ratifier ce bail par son fils à l’âge de sa majorité. (30 ans pour les garçons à ce moment)   Entre temps Marie Anne Fillion

  Entre ce bail et le suivant, vingt deux années s’écoulent sans qu’aucun acte ne figure aux archives.   Il faut donc attendre le 21 mai 1742 pour voir apparaître le suivant.   Celui-ci est consenti à François Darchin et à sa femme Marie Anne Fillion par le révérend père Jean Castel prieur de l’abbaye.