Par rapport à 1883, les surfaces cultivées tendent à diminuer. Certaines cultures se sont réduites de moitié, comme l'avoine, d'autres ont disparues, tel le méteil.
Les surfaces consacrées à la culture des pommes de terre et des haricots ont aussi diminuées de moitié.
En raison des conséquences néfastes pour la santé, suite aux mesures prisent pour en interdire la culture, le lin a totalement disparu.
On constate également que le bétail tend à se restreindre en importance. Si le nombre de chevaux reste stable, les vaches sont moins nombreuses et les porcs tendent à disparaître. Cette constatation confirme la tendance qui déjà se manifestait sur les statistiques de 1892.
Les surfaces consacrées aux prés diminuent sensiblement.
Parallèlement l'habitat tend à se densifier prenant sur les surfaces cultivées dont beaucoup se situaient dans l'enceinte du village.
