Leurs corps ne seront jamais retrouvés et feront partie de ces douze hommes portés disparus sur les vingt-quatre solitaires tués dans ce conflit.
C’est ce qui explique qu’il faille attendre que le tribunal civil de Compiègne les 8 septembre 1920 et 22 décembre 1920, sur la base des documents en sa possession, rende son jugement qui déclare ces deux soldats « morts pour la France ».
Sources :
Archives de Saint-Jean-aux-Bois
Archives départementales de l'Oise
Ministère de la défense, Mémoire des hommes.