1874
Aux inconvénients que posaient les autorisations d’inhumations accordées sans avoir acquis de concessions dans le cimetière et l’usage qui autorisait, après cinq années, l’ensevelissement d’une personne, dont la famille n’avait pas de concessions, à la place même où un parent avait déjà été enterré le maire souhaite mettre fin. Le sous préfet lui envoie la note suivante :
A la suite de quoi le maire prend en date du 10 mai 1874 l’arrêté suivant :
Le sous préfet renvoie au maire la lettre qu’il lui avait écrite le 31 août accompagnée en marge de l’annotation suivante.
A la suite de quoi le maire prendra un nouvel arrêté le 10 septembre 1874, qui sera approuvé par le préfet.
C’est à partir de ce moment que les concessions deviendront la règle pour les inhumations.
à suivre…