Dès 1832, dans sa cession du 26 décembre, le conseil municipal de Saint-Jean avait adopté la délibération suivante :
Le sous-préfet, par un courrier du 14 janvier 1833, transmet cette délibération au préfet qui ne manque pas, dans sa lettre du 13 mars 1833, de lui faire les remarques suivantes.
Au sous-préfet qui avait fait au maire les mêmes remarques, ce dernier, par l’intermédiaire du receveur municipal, lui avait adressé un état des fonds disponibles dans la caisse de la perception au profit de la commune.
Sur la base de ces précisions, le préfet approuvera la délibération du conseil le 6 novembre 1833.