Aujourd’hui dimanche, jour du Seigneur. Depuis quelques mois, à Saint Jean, le dimanche, les cloches de la messe ne sonnent plus. Monsieur l’abbé Jean Feller, atteint par l’âge et la fatigue, a souhaité de ne plus officier. Le dimanche, l’autel et les bancs restent vides. Les voûtes ne résonnent plus de ses prières. Le silence […]
Ce matin 3 septembre 2010, 8 h 30. Quand on regarde cette forêt qui entoure notre village, ne porte-t-il pas son nom de “Nid dans la verdure” ? Ces photos prises ce matin peu après le levé du jour se passent de commentaires. Sinon de vous faire admirer ce que j’ai vu.
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Léon Duvauchel 1848-1902 Ecrivain régional picard. Originaire du Ponthieu. Passe une partie de sa jeunesse dans l’Amienois, puis émigre à Paris. Dans un de ses poèmes « Atavisme » il écrit : — Mes aïeux paternels étaient des laboureurs. — Ils labouraient le sol à Crécy-la-Bataille ; Au mois de septembre 1875, traversant la vieille
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Par la force des choses, lui ne partira jamais, De Compostelle il ne connaîtra jamais le nom, Ni le chemin, De ses coquilles qu’il nous fait discrètement admirer, Il ne saura jamais que plus loin, Très loin, D’autres coquilles aussi se feront admirer, Par des milliers de pèlerins. Clin d’œil au
Soleil matinal Ce matin le soleil est joyeux. Il brille de tous ses feux, Profitant du bon matin, se croyant seul dans la forêt, Il batifole, sautant de branche en branche, d’arbre en arbre, Trébuchant quelque fois, il s’étale sur le sol, Le tout ne formant qu’un ilôt de lumière, Caché derrière un
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Le chas de l’aiguille Quelle couturière n’a pas un jour pesté, nettoyé et ajusté ses lunettes, resuçoté son fil qui s’obstine à ne pas passer dans ce trou d’aiguille qu’on appelle « le chas ». Que de temps perdu à viser ce trou qui devient de plus en plus petit alors que l’on s’efforce de passer le
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La forêt de Compiègne a été durant des lustres celle, qui pour une grande part, alimentait Paris en bois de chauffage. L’Aisne, l’Oise puis le Seine, toutes trois reliées entre elles, permettaient le transport fluvial du bois de chauffe jusqu’à la capitale. Ainsi, outre le “bûcheronnage”, s’étaient développés divers métiers dont celui du transport de